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4 avril 2013 4 04 /04 /avril /2013 19:06
Dictionnaire passionné des animaux

Célèbre défenseur de la cause animale au travers de ses fonctions de journaliste, de producteur et de président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO), Allain Bougrain Dubourg anime, avec la philosophe Élisabeth de Fontenay, l'émission de radio « Vivre avec les bêtes » sur France Inter.

"Sous forme d’Abécédaire, Allain Bougrain Dubourg nous raconte une vie de passion consacrée aux animaux.

Tour à tour spectateur émerveillé de la nature et farouche acteur de sa protection, il s’est frayé un parcours hors du commun qui donne tout son sens à l’idée selon laquelle on ne protège bien que ce que l’on connaît bien. Du manchot, en Antarctique, qui tente de lui voler son feutre, aux chiens, en Normandie, dressés pour aider les handicapés, en passant par le jeune rhinocéros qu’il nourrit au biberon, chaque rencontre est source de compréhension, de compassion et d’émotion.

De chaque aventure avec les hommes et les animaux, Allain Bougrain Dubourg tire une leçon philosophique qui nous rappelle que nous sommes partie intégrante de la nature."

Interview de 20 minutes

Rutin : Bonjour. Il y a de nombreux trafics d'oiseaux en France. Que faire lorsque ceux-ci sont récupérés par les autorités, sachant que leur réinsertion dans leurs différents pays semble impossible ? La cage est-elle la seule et unique solution ?

La première des choses, c’est de mettre en place un lieu d’accueil pour les animaux trafiqués. Or, la France, contrairement à beaucoup d’autres pays européens, n’a pas d’établissement de ce genre. Hier, des poissons exotiques interceptés, sont morts de froid faute de centre d’accueil. Il y a environ 15 jours, une soixantaine d’oiseaux ont subi le même sort. Et malgré nos nombreuses demandes, l’Etat n’assume pas ses responsabilités en la matière. Il est parfois possible de relâcher les animaux saisis dans la nature, je l’ai fait avec un orang-outang dont je raconte l’histoire dans mon livre.

Maubert : Quelles sont les espèces les plus menacées sur notre territoire ?

Actuellement une espèce de batracien sur 3 est menacée. De même, une espèce de mammifère sur 4, et une espèce d’oiseaux sur 8. La France est un pays très riche en biodiversité, notamment grâce à ses territoires d’Outremer, qui accueille des espèces dites endémiques, c’est à dire que l’on ne retrouve nulle part ailleurs, et qui, par conséquent, sont extrêmement fragiles. Certaines espèces d’oiseaux, se comptent en dizaines d’individus survivants.

Tarabiscote : Chasser doit rester un mode de survie et non un loisir. Mais pour ce qui est de la disparition de certaines espèces, je pense que c'est un cycle naturel, où la nature choisit qui reste et qui part. Pour vous, quel type d'alimentation fera vivre l'espèce humaine dans le futur ? Allons-nous tous devenir des végétariens ?

Concernant la nature qui choisit qui reste et qui part, c’est vrai dans le principe. Mais on constate que depuis un siècle, l’homme est devenu l’arbitre en faisant notamment disparaître des espèces que la nature aurait volontiers gardé. Au sujet de l’alimentation, il est évident que nous ne pouvons poursuivre à ce rythme, qui use la planète, et n’est pas durable. La consommation de viande est notamment un problème prioritaire. Il faudra sans aucun doute limiter sa consommation carnée, dans les années à venir. Par ailleurs, on constate qu’il y a un grand mouvement en faveur du régime végétarien, ce qui est une excellente chose.

Julie : A qui s’adresse votre livre ?

Je crois qu’il est tout public dans la mesure où il raconte des anecdotes, donne des informations et évoque un thème très populaire : celui de la cohabitation de l’homme avec les animaux.

Firona4 : Qu’est-ce qui vous a poussé à vouloir protéger les animaux ?

A 12 ans, au lycée de La Rochelle, j’ai créé un club des jeunes amis des animaux. Et la passion ne m’a jamais lâché. Les préparateurs du muséum d’histoire naturelle m’ont ouvert les coulisses de l’établissement pour m’initier. C’est ainsi que j’ai appris à baguer des oiseaux, identifier des serpents ou sauver des hérissons.

leberet : Bonjour. Vous êtes un homme de terrain, j'apprécie ! Les chasseurs aussi sont des hommes de terrain, j'en connais beaucoup et je les apprécie aussi! Comment se fait-il que vous n'arriviez pas à vous entendre ?

C’est une bonne question car on voit bien que dans certains pays (je pense à l’Angleterre par exemple), les associations de protection de la nature et les chasseurs, peuvent travailler ensemble. Malheureusement en France, qui reste le pays où l’on chasse le plus dans toute l’Europe (voire dans le monde), le dialogue reste impossible car les chasseurs veulent élargir les périodes de tir et le nombre d’espèces concernées sans respecter la réalité biologique. Ce qui nous conduit à plaider devant le Conseil d’Etat (avec succès), pour faire imposer l’élémentaire bon comportement. Sous la présidence Sarkozy, des tables rondes réunissant chasseurs et protecteurs, dans l’espoir d’une coopération, se sont soldées par un échec : les chasseurs ont quitté les négociations !

Babiroussa : Que pensez-vous de l'écologie politique ?

Elle me parait nécessaire. Il faut un parti qui fasse office de fer de lance pour porter les idées environnementales mais l’essentiel reste que chaque formation politique s’empare du thème. Cela dit, la question environnementale reste dramatiquement dépendante de l’appréciation économique. Et il y a un manque de courage à refuser la vision qui s’impose à moyen et long terme. Alors qu’on est dans l’urgence.

Robin33 : Qu'attendez-vous de la conférence de la CITES qui se déroule actuellement à Bangkok ?

Je regrette que l’ours blanc n’ait pas été protégé intégralement et que la France se soit abstenue face aux Etats-Unis et à la Russie qui étaient favorables à sa protection intégrale. Par ailleurs, le sort des requins s’améliore un peu. Mais globalement, on assiste à une dégradation pathétique du vivant qui nous entoure. Et, la réglementation n’y suffit plus, il faut mettre en œuvre des moyens de contrôle et de répression.

Babiroussa : Vous avez choisi de vous engager aux côtés de la LPO, pourquoi défendre particulièrement les oiseaux ?

Parce qu’on me l’a demandé tout simplement ! Et qu’en accompagnant cette association, j’ai découvert des gens remarquables, compétents et enthousiastes, qui sont peu à peu devenus une seconde famille. Mais aujourd’hui, la LPO* ne s’en tient plus seulement à protéger les oiseaux, elle s’attache à l’ensemble de la biodiversité.

Bayonne : Vous vous attaquez beaucoup aux chasseurs alors que se sont les premiers à entretenir les forêts. Ils évitent la prolifération de certaines espèces. Quand on voit ce qui arrive en Angleterre avec une constatation énorme du nombre d'accidents avec les animaux sauvages... Qu'en pensez-vous ? Peut-on considérer ce combat comme de l’éco-terrorisme ?

Je ne conçois pas que l’on puisse retirer la vie pour le plaisir. Pour autant, je travaille avec des chasseurs responsables qui peuvent nous accompagner dans la conservation de la nature. Mon combat «anti-chasse» porte prioritairement sur le non-respect des lois par les chasseurs. Et il y a beaucoup à faire ! Quand durant les grandes vagues de froid, il faut intervenir auprès des préfets pour suspendre la chasse, vous conviendrez que les porteurs de fusil pourraient prendre cette initiative eux-mêmes !

Silver34 : Pourriez-vous nous raconter une anecdote, un passage de votre livre pour mieux nous le présenter ?

Une rencontre émouvante avec Claude Nougaro, qui venait d’écrire un texte intitulé «Vieux Tarzan déchu» dans lequel il raconte le déclin de la faune sauvage. Un texte que vous pourrez retrouver dans mon livre.

Millandy : Bonjour. Que pensez-vous de la pensée d’Einstein: «Si l’abeille venait à disparaître, l’homme n’aurait plus que quelques années à vivre» ? Quelles solutions peuvent être apportées selon-vous ? Merci par avance, et bravo pour votre travail.

On n’est pas sûr que ce soit Einstein qui ait dit ça. Mais la réalité est effectivement tragique. Puisque la pollinisation gratuite des abeilles assure 30% de la production agro-alimentaire. Nous nous battons pour faire reculer l’emploi des pesticides. La France en utilise 60000 tonnes par an.

Robin33 : Vous avez un parcours exceptionnel. Que conseillez-vous à un jeune qui, comme moi, est passionné par les animaux et qui veut absolument défendre la faune ?

J’ai eu la chance de faire de ma passion un métier... qui est le fruit du hasard (je n’ai aucune formation particulière à l’origine). Aujourd’hui, il est conseillé d’être diplômé en biologie. L’idéal est de commencer par se rapprocher d’une association de protection de la nature. De nombreux métiers permettent de côtoyer les animaux mais les places sont chères...

Robin33 : Que pensez-vous de la mode d'avoir chez soi des animaux exotiques, quitte à faire appel à des trafiquants ?

J’y suis farouchement opposé. On les appelle les NAC (nouveaux animaux de compagnie). Ils conduisent effectivement au trafic mais aussi à la dégradation de certaines espèces indigènes. Par exemple la tortue de Floride relâchée dans la nature fait concurrence à la tortue Cistude, indigène.

Laurent : Ce livre est-il une forme de premier bilan sur votre vie de combats en faveur de la nature ?

Il est notamment l’occasion d’évoquer les combats qui ont été menés avec la LPO. je pense au braconnage des tourterelles ou à celui des ortolans qui se poursuit. Mais on parle également de mes rencontres avec de nombreux animaux.

 

 

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3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 16:46
Des sacs-jardins

Parmi les initiatives proches de Bacsac, celle de l'association Les Mauvaises Herbes est l'une des plus ambitieuses. Outre la création d'un potager bio (en sacs) sur le toit d'un bâtiment parisien, elle oeuvre en effet à l'installation de jardins maraîchers au sein de logements sociaux. Pratiques agro-écologiques, ferme urbaine, biodiversité, variétés locales, réflexion sur le gaspillage et l'autonomie, création d'activité économique et de lien social sont autant de pistes qu'elle souhaite suivre. "On peut tout faire, et il faut tout faire, insiste Margaux Pibarot, l'une des trois jeunes associées des Mauvaises Herbes ; nous devons partir d'une vision macro pour trouver des solutions locales qui fonctionnent à tous les niveaux : social, économique, environnemental..." Nombre d'autres initiatives similaires sont en cours, tel le projet UrbAgri de Virginie Dulucq, qui vise à créer des potagers sur les toits et les zones en friche, ou l'association des Incroyables Comestibles, dont le but est de faire pousser, un peu partout en ville, des légumes que chacun peut cultiver et récolter. "L'idée du potager en ville, du jardin ouvrier et d'une petite agriculture urbaine vivrière a toujours existé, jusqu'au début du XXe siècle qui a été ravagé par l'industrialisation et l'urbanisation massive », assure Margaux Pibarot. Solution de survie évidente dans les mégalopoles des pays sous-développés, les jardins en ville se démultiplient désormais de Montréal à Nantes, en passant par New York, Detroit ou Bruxelles. Et Paris, malgré ses 300 hectares cultivables, est à la traîne, avec 64 jardins partagés et seulement deux vrais potagers sur toit. "Paris est une ville très compacte, analyse Fabienne Giboudeaux, adjointe au maire chargée des espaces verts et de la biodiversité. Pour en faire une ville exemplaire, il faut continuer à inventer des techniques de production et d'exploitation des espaces."

La végétalisation de la ville est devenue un enjeu pour les artistes - Le jardin perché créé à Paris-20e par l'association Arfog La Fayette est un lieu de réinsertion et de rencontre. Nourricière, esthétique, pédagogique, fédératrice, la végétalisation de la ville est devenue un terrain de réflexion tous azimuts pour les architectes, scientifiques, sociologues, urbanistes et artistes. La plasticienne urbaine Paule Kingleur a ainsi entrepris de réarranger les trottoirs (espaces publics par excellence) à sa manière : elle accroche ses Dadagreens, minipotagers en "sacoche", sur les potelets - les Potogreens - et les grilles d'écoles, hôpitaux ou bâtiments municipaux, détournant ainsi un mobilier urbain prohibitif qui n'a qu'une seule fonction. "Il n'y a pas que l'administration qui décide de l'utopie", clame l'artiste. Confrontée à des impératifs sécuritaires mais aussi politiques, l'administration en question n'a pas toujours la meilleure marge de manoeuvre. Fabienne Giboudeaux déplore par exemple que l'on ne plante pas de vrais arbres fruitiers dans les espaces publics, plutôt que ces "arbres sans racines amovibles à l'envi". Le rêve de l'élue et militante verte ? "Il faut améliorer le cadre de vie, l'expérience participative des habitants, mais aussi la résilience urbaine. Transformer la ville en écosystème, pour réintroduire le vivant dans le béton, et redevenir vivant parmi les vivants."

Plus d'info sur...

www.bacsac.fr

www.lesmauvaisesherbes.org

Le Monde

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31 mars 2013 7 31 /03 /mars /2013 17:21
Asperges vertes mimosa
Ingrédients pour 4 personnes

- 1 kg d'asperges vertes

- 1 œuf

- 350 g de fromage blanc à 0% de matière grasse

- 10 cl de crème liquide allégée

- 1/2 bouquet de ciboulette ou de persil plat

- Sel, poivre.

Etapes de préparation

- Réunissez les tiges et égalisez les longueurs. Mettez-les dans le panier d'une marmite à vapeur. Faites-les cuire 15 min à la vapeur.

- Entre-temps, faites durcir l'œuf 10 min à l'eau bouillante. Rafraîchissez-le. Écalez et écrasez-le à travers un tamis fin.

- Mettez les asperges dans un plat. Parsemez d'œuf dur et de quelques brins de ciboulette ou de persil plat.

- Dans un bol, mélangez le fromage blanc, la crème et les herbes restantes ciselées.

- Salez, poivrez. Accompagnez les asperges tièdes ou froides de cette sauce.

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30 mars 2013 6 30 /03 /mars /2013 19:19
No Steak !

"Bientôt, nous ne mangerons plus de viande. Nous cesserons définitivement de tuer des êtres vivants – 60 milliards d’animaux chaque année – pour nous en nourrir. Épuisement des sols, utilisation abusive des ressources en eau, pollution des nappes phréatiques, réchauffement climatique, manque de surfaces agricoles : ce rythme est intenable. Et il le sera d’autant plus lorsque nous serons 9 ou 10 milliards en 2050, et peut-être 15 milliards en 2100. Nous allons donc cesser de manger de la viande parce que notre planète nous l’ordonne, mais pas seulement pour cette raison. Le passage à un régime végétarien va faire partie d’une nouvelle phase de notre évolution. La science nous prouve un peu plus chaque jour que, contrairement à ce que nous avons longtemps prétendu, les animaux sont des êtres qui souffrent, ressentent des émotions et ont une vie sociale. Et c’est là que la philosophie prend le relais. Depuis une trentaine d’années, l’éthique animale nous invite à reconsidérer totalement nos devoirs moraux vis-à-vis des autres animaux, auxquels nous sommes tenus d’accorder des droits. Mais, pourrait-on répliquer, ne faisons-nous pas partie d’un système alimentaire où il est normal de manger et d’être mangé ? Non. Nous ne faisons partie d’aucun système, si ce n’est celui que nous mettons en place grâce à ce que la Nature nous a offert en cadeau et dont nous nous servons parfois à mauvais escient : la conscience. Plus se réduit la frontière entre l’homme et les autres espèces, plus se rapproche l’heure où la viande aura disparu."

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29 mars 2013 5 29 /03 /mars /2013 17:02

 

www.l214.com

 

L'Association L214 dénonce :

L214 a rendu public le 27 mars 2013 un film d'enquête réalisé dans 8 élevages français de lapins de chair, commercialisant notamment la viande dans les grandes surfaces.

L'enquête réalisée dans la plus grande zone productrice de France montre les conditions d'élevage exécrables des lapins élevés pour leur viande et l'état de santé très dégradé de nombreux animaux. Les poubelles y sont remplies de cadavres et de flacons d'antibiotiques.

Les images ont été filmées entre novembre 2012 et janvier 2013 en Bretagne et Poitou-Charente.

De nombreux animaux malades ou blessés

Les images diffusées par L214 montrent de nombreux lapins malades (syndrome vestibulaire), blessés (infections aux yeux, oreilles, nécroses...) ou morts au fond des cages dans des élevages comptant en moyenne plus de 6000 animaux. Huit à neuf lapins s'entassent dans chaque cage de batterie nue. Chaque animal dispose d'une surface équivalente à une feuille A4.

Les statistiques professionnelles indiquent que 20 lapins sur 100 meurent dans les élevages avant d'avoir atteint l'âge de deux mois et demi.

Nourris aux antibiotiques

La vidéo d'enquête montre des poubelles remplies de flacons antibiotiques et d'hormones. Selon l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), les lapins sont les animaux d'élevage les plus exposés aux antibiotiques.

Selon les indicateurs mis au point par l'Anses, les lapins sont de loin les animaux d'élevage les plus exposés aux antibiotiques. En 2011, 71.09 tonnes d'antibiotiques ont été vendus à destination des élevages cunicoles. Pour une production de viande équivalente, il faut au moins 6 fois plus d'antibiotiques pour l'élevage de lapins que pour l'élevage porcin.

La viande de lapin présente également le taux de résidus d'antibiotiques non conforme à la réglementation le plus élevé (0,62% en 2010). En 2010, un échantillon prélevé en France présentait un résidu de Chloramphénicol, un antibiotique interdit du fait d’une grave toxicité potentielle.

L214 appelle à cesser de manger de la viande de lapin

« Le lapin " origine France " est garanti 100% élevé en cage de batterie. Nous encourageons les consommateurs soucieux de ne pas cautionner l'une des formes d'élevage les plus préjudiciables aux animaux à se détourner de la viande de lapin. » indique Brigitte Gothière, porte-parole de l'association L214, qui incite par ailleurs à se tourner vers une alimentation végétale.

Happening place du Trocadéro

100 manifestants ont participé à un happening place du Trocadéro à Paris, pour sensibiliser aux conditions de vie des lapins élevés pour la consommation :

 

 
Vidéo
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21 mars 2013 4 21 /03 /mars /2013 13:19
De Yann Arthus-Bertrand

De Yann Arthus-Bertrand

Protéger le monde sauvage

"Rhinocéros, orchidées, crocodiles, requins : ces animaux ou ces plantes sont menacés.

Pour de nombreuses raisons, mais en particulier parce qu'ils sont précieux : leur corne, leurs fleurs, leur peau, leurs ailerons valent parfois plus cher que l'or.

Mais ce qui les menace peut aussi les sauver, car qui voudrait tuer la poule aux oeufs d'or ?

Lutter contre les braconniers du monde entier, former les gardes forestiers, démanteler les filières internationales, c'est l'objectif de CITES, une convention internationale qui est l'un des outils les plus puissants et les plus efficaces pour préserver la biodiversité : elle protège, depuis 40 ans, près de 35000 espèces."

 

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20 mars 2013 3 20 /03 /mars /2013 13:05
Salons de coiffure bio

Passer au bio, pour la santé de ses cheveux, pour sa santé globale et celle des coiffeurs.

Non aux produits chimiques agressifs, aux allergies, au parabène, à l'amoniaque...

Oui aux huiles essentielles, aux ingrédients naturels...

 

Annuaire des coiffeurs bio : http://coiffeurs-bio.fr/

 

Vidéo, témoignage d'un coiffeur bio :

 

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16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 10:03
L'Eco-Trail de Paris-IdF, l'évènement nature

Après 6 éditions, l’Eco-Trail de Paris IDF est devenu une référence incontournable des événements nature en France.

Rassemblant chaque année de plus en plus de participants et de plus en plus d’étrangers, l’événement a su s’adapter en proposant au fil des ans des épreuves pour tous. Longues distances, premier Trail, ou tout simplement préparation de début de saison, les différentes distances de l’Eco-Trail de Paris IDF permettent de découvrir la discipline du Trail, la Marche Nordique ou encore la randonnée en milieu urbain de manière conviviale.

Le week-end de l’Eco-Trail de Paris IDF est donc un week-end riche en découvertes pour les différents participants : Observatoire de Meudon, Château de Versailles, Domaine national de Saint-Cloud… les parcours de la manifestation sont une occasion rêvée de fouler les sentiers longeant certains lieux parisiens remarquables et souvent méconnus. L’opportunité également de réaliser que les espaces verts à proximité de Paris sont nombreux : l’ensemble des parcours de l’Eco-Trail de Paris IDF sont en effet composés à plus de 80% de sentiers.

Une édition chaque année, suivez l'actualité sur www.traildeparis.com

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16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 08:56

 

 

 

 

 

 

 

 

Du 1er mars au 31 mai de chaque année, l’opération nationale « Fréquence grenouille » sensibilise le grand public aux zones humides et à leur rôle inestimable : la préservation de nos ressources en eau.

Suivez l'actualité sur :

http://www.cfen-bassenormandie.org

frequence.grenouille@cen-bn.fr

 

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1 mars 2013 5 01 /03 /mars /2013 17:15

 

Urbanisation, déforestation, pollution… l’Ile-de-France se fait de plus en plus hostile pour les animaux. Natureparif* qui a tenu une conférence sur la survie des libellules en ville, tire la sonnette d’alarme.

Les oiseaux migrateurs sont les premiers sur la liste. Sur 178 espèces, 151 sont jugées «menacées» et 10 ont disparu de nos contrées entre 1950 et 2012, comme la bécassine des marais.

Suivent les chauves-souris, 8 fois moins nombreuses en Ile-de-France que dans les régions limitrophes.

«C’est surtout le cas dans les forêts, avec la raréfaction des vieux arbres où elles vivent», précise Maxime Zucca, de Natureparif.

De leur côté, les papillons, les grenouilles et les crapauds souffrent de la disparition des zones inondables où grandissent chenilles et têtards. Près de la moitié des 109 espèces franciliennes de papillons ont disparu en un siècle et 1/3 des batraciens et des reptiles sont menacés. Des listes des espèces en danger devraient bientôt être réalisées pour sensibiliser le public.

Direct Matin

 

* http://www.natureparif.fr/attachments/Conferences/2013/Conferences.jpg 

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