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13 août 2011 6 13 /08 /août /2011 08:30

Une physalie, animal marin venimeux, faisant penser à une méduse est photographiée, le 9 août 2011, sur le sable de la plage du Porge où le drapeau rouge a été mis par les services de sécurité, empêchant les vacanciers de se baigner (Jean Pierre Muller /

 

 

 

 

Mise sur le devant de la scène marine depuis cet été…

Les phisalies ne sont pas vraiment des méduses mais leurs cousines. Comme tous les Cnidaires (qui regroupent aussi les anémones de mer et les coraux), elles possèdent des cellules urticantes capables d’injecter du venin. Les physalies (Physalia physalis) sont de bien surprenantes et passionnantes créatures marines. Ce sont des colonies (appelées Siphonophores) composées de centaines d’individus qui ont chacun leur propre fonction – flotter, manger, se reproduire – mais qui fonctionnent tous ensemble, comme un seul organisme !

Contrairement aux méduses, elles n’ont pas la capacité de se déplacer ou de s’enfoncer en profondeur par pulsation, et vivent à la surface des océans, poussées au gré des courants et des vents. Elles portent d’ailleurs le petit nom de "vaisseau de guerre portugais". Ces animaux vivent plutôt dans les régions tropicales des océans et sont parfois, par exemple lors de grands coups de vent de noroît, rabattus en grand nombre sur nos côtes atlantiques.

Sous leur large bouée bleutée pendent des filaments pêcheurs très urticants, longs de parfois 20 mètres. Si l’un d’eux rencontre un nageur, il ne s’agit pas (forcément) d’un acte de prédation. Leur poison est en tout cas très virulent : un spécimen au flotteur long de 30 cm peut immobiliser un poisson de la taille d’un maquereau, à la nage rapide et plutôt costaud !

Certes, les physalies ne sont pas aussi redoutables que ces méduses tropicales Chironex (ou "Main qui tue"), au mortel venin : le moindre contact avec une longue partie de leurs soixante tentacules (qui s’allongent jusqu’à 4 mètres) cause d’atroces brûlures ; puis le venin passe dans la circulation sanguine et provoque une paralysie du cœur en quelques minutes... Heureusement pour nous, ces méduses vivent loin de nos côtes, au Nord de l’Australie.

On connaît actuellement plus de 1000 espèces de méduses dans le monde. Leur ombrelle (c’est-à-dire le corps de la méduse) mesure de quelques millimètres à 2 mètres. Si elles revêtent une magnifique multitude de formes et de couleurs, et vivent dans des environnements très divers, de la surface jusqu’aux abysses, à 7000 mètres de profondeur, leur venin est toujours présent, mais agit avec plus ou moins de virulence.

Ce venin n’est d’ailleurs pas étranger à la survie de ce groupe, vieux de 600 millions d’années ! Avec leur corps mou et gélatineux (composé de 98% d’eau), les méduses sont, contrairement aux apparences, de redoutables prédateurs carnivores, curieusement dépourvus de dent, de mâchoire et de toute partie dure.

Quelles sont donc leurs armes secrètes ? Des millions de mini-cellules à venin, ou nématocystes, réparties à la surface de leurs tentacules, et parfois même sur leur ombrelle. Si le cil sensoriel d’une de ces cellules est effleuré, par une proie ou par un ennemi (ou un innocent nageur), la méduse décharge automatiquement un mini-harpon en même temps qu’une goutte de liquide toxique. Chez certaines espèces, on peut compter jusqu’à 750.000 de ces cellules sur un tentacule de 10 m de long ! Les proies paralysées sont ensuite portées par les tentacules jusqu’à la bouche et la méduse en fera son repas...

Les méduses et physalies ne sont pas dangereuses que dans l’eau. Certes, en pleine eau, les tentacules souples (peu visibles) se ploient et s’appliquent sur le corps qu’ils rencontrent. Et un tentacule détaché du corps d’une physalie est encore capable d’émettre quelques temps du venin.

Par prudence, ne touchez jamais une méduse ou une physalie échouée. Elles peuvent encore décharger du poison, provoquer de méchantes brûlures et le moindre contact des doigts avec les yeux peut être affreusement douloureux !

Selon la surface de peau touchée, la corpulence du baigneur ou du promeneur, qu’il s’agisse d’un enfant ou d’un adulte, et selon les réactions personnelles propres à chacun, les réactions à la piqûre de physalie peuvent aller de simples rougeurs à des brûlures très intenses, du type de celles provoquées par un barbecue. Et entraîner aussi fièvre, douleurs, malaises, état de choc…

Quelques techniques à suivre, que vous soyez piqué par une méduse ou une physalie. Si le tentacule est resté collé sur la peau, enlevez-le délicatement avec une pince fine, de façon à empêcher les cellules à venin qui n’ont pas déchargé de le faire. Lavez à l’eau de mer ; éventuellement mettez un peu de sable, et grattez très légèrement avec un carton rigide puis rincez*.

N’utilisez jamais d’eau douce, car cela provoquerait la décharge des cellules encore intactes. Si elles sont inoculées plusieurs fois, les substances venimeuses de ces animaux peuvent déclencher des réactions de plus en plus fortes (anaphylaxie). Aussi, mieux voir un médecin ou vous rendre à un centre antipoison.

Le nouvel observateur

 

* Conseil des sauveteurs : utilisez de la mousse à raser puis grattez légèrement avec une carte en plastique du type carte de fidélité.

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12 août 2011 5 12 /08 /août /2011 08:16

Vidéo :

 

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11 août 2011 4 11 /08 /août /2011 17:22
Un motard fonçait sur sa Suzuki à 130 km/h sur une route déserte quand il se trouve nez à nez avec un petit moineau. Il fait tout ce qu'il peut pour éviter le malheureux oiseau, mais, rien à faire, la collision est inévitable!
Il voit, dans le rétroviseur, la malheureuse petite bête faire des pirouettes sur le bitume, puis tomber sur le dos, ailes étendues. Pris de remords, il s'arrête, ramasse la bestiole inconsciente, achète une petite cage, et l'y installe douillettement, avec un peu de pain et une soucoupe d'eau pour quand elle se réveillera. Le lendemain, l'oiseau se réveille, voit les barreaux de la cage, le morceau de pain et la soucoupe d'eau, se prend la tête entre les ailes et s'exclame :
- Mince ! J'ai tué le motard !...
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8 août 2011 1 08 /08 /août /2011 08:23

Un orage au-dessus du volcan Eyjafjallajökull, en Islande, le 17 avril 2010.

Un orage au-dessus du volcan Eyjafjallajökull, en Islande

17 avril 2010. L.JACKSON/REUTERS

 

Quand la nature se déchaine, cela peut donner de véritables oeuvres d'art. 20 minutes propose de mettre en ligne vos photos et vidéos sur :

http://www.20minutes.fr/article/767036/photos-videos-orages

Vidéo "Time lapse de Peter Vancoillie" à regarder sur : http://www.vimeo.com/25941600

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7 août 2011 7 07 /08 /août /2011 17:58
Tiramisu aux fruits rouges

4 personnes

Temps de préparation : 20 mins

Sans cuisson

Ingrédients

- 16 biscuits à la cuillère

- 400 g de framboises et de fraises des bois

- 100 g de crème fraîche épaisse

- 400 g de mascarpone

- 2 CS de sucre en poudre

- 4 CS de sucre glace

- 5 CS de muscat

Etapes

- Saupoudrez les fruits rouges de sucre en poudre.

- Dans un saladier, mélangez le mascarpone avec 3 CS de muscat, la crème fraîche et le sucre glace. Fouettez le mélange à la fourchette jusqu’à ce qu’il devienne mousseux.

- Humectez les biscuits à la cuillère avec le reste de muscat, puis émiettez la moitié au fond de 4 coupelles. Couvrez de crème au mascarpone, de fruits rouges et du reste de biscuits émiettés. Servez sans attendre.

  

 

www.cuisine-et-recette.fr

 

 

 

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6 août 2011 6 06 /08 /août /2011 17:48

Verrines de riz au lait aux mirabelles de Lorraine Photo : © François Bertram

 

4 personnes
Préparation : 10 minutes
Cuisson : 10 minutes
Ingrédients
- 150 g de riz rond
- 300 g de Mirabelles de Lorraine
- 40 cl de lait
- 1/2 gousse de vanille
- 1 cuillère à soupe de cannelle
- 1 grosse cuillère à soupe de cassonade

Etapes

- Faire blanchir le riz 2 minutes dans de l'eau bouillante, puis l'égoutter.
- Faire chauffer le lait avec la vanille, puis ajouter le riz et laisser cuire à feu doux 30 minutes. Veiller à ce que le riz soit cuit et moelleux.
- Dénoyauter les mirabelles et les mettre dans une casserole, les saupoudrer de cassonade et de cannelle, puis laisser compoter à feu doux 5 minutes.
- Réserver.
- Dans les verrines déposer en couches successives le riz et les mirabelles, puis ajouter le miel.
- Déguster à température ambiante

 

 

 

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5 août 2011 5 05 /08 /août /2011 17:38
Buzard

Buzard

15 oisillons d’une espèce en voie de disparition au niveau régional ont été exécutés.

Le tiers des effectifs de jeunes a été cette année encore victime de destructions volontaires. Le mode opératoire reste le même : de nuit, aux environs de 1h30, de tristes salauds viennent consciencieusement piétiner de jeunes oiseaux de 15 jours incapables de s’enfuir.

En 2011, sur 44 jeunes élevés par 16 couples ayant réussi leur reproduction, 15 ont été victimes de destruction volontaire, 2 de prédation, 3 de machinisme agricole (oubli de l’exploitant de prévenir de la date de moisson), ce qui a donné seulement 24 jeunes à l’envol. Ces destructions ont fait l’objet de constats de l’ONCFS et Athénas a déposé une plainte contre X pour destruction volontaire d’individus d’espèce protégée.

La menace d’une disparition prochaine : à ce rythme, et compte tenu du pourcentage de jeunes arrivant à l’âge adulte, le renouvellement de la population ne peut être assuré et les couples en échec risquent fort de ne pas revenir. Le busard cendré est en Franche-Comté sur la liste rouge des espèces en danger critique d’extinction. Celle-ci se profile à l’horizon 2020, et peut-être même avant.

Des efforts communs réduits à néant : L’association ATHÉNAS, en lien avec les exploitants agricoles, et avec le soutien des collectivités, a pu depuis 2002 inverser la dynamique au prix de plusieurs centaines d’heures annuelles de surveillance (associatifs, services de l’Etat), et de moyens de protection auxquels Etat, Région de Franche-Comté et Département du Jura ont participé. La population était péniblement remontée de 5 à 15 couples. Cette année, qui se présentait comme « exceptionnelle » (18 couples identifiés, dont 16 reproducteurs) sera en fait une des plus mauvaises connues en raison de ces destructions barbares.

Un malaise à traiter : Athénas collabore localement avec tous les usagers du milieu naturel témoignant de bonne volonté et d’un esprit d’ouverture. Certains d’entre eux (exploitants ou non), reconnaissent que parmi les locaux plusieurs, souvent connus, sont des ennemis jurés du busard et tout à fait capables de passer à l’acte par haine de l’animal ou par provocation vis-à-vis de notre association. Tant que l’existence de ces personnes sera niée par certains représentants, elles jouiront d’un sentiment d’impunité. Tant qu’Athénas sera caricaturée par certains responsables à des fins démagogiques, cette espèce en paiera le prix fort, et toute la collectivité y perdra.

Dans le but de tenter de sortir de cette impasse, Athénas projette de réaliser des réunions locales avec ses partenaires institutionnels, afin de diffuser des informations objectives sur l’espèce et son régime alimentaire. Ces informations, issues de milliers d’heures d’observation et de l’examen de dizaines de pelotes de réjection, permettraient peut-être de changer une image erronée de l’espèce, toujours perçue et présentée par certains comme un prédateur de gibier.

 

Plus d’infos sur : www.Athénas.fr

 

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2 août 2011 2 02 /08 /août /2011 08:01

 

Association SNAC
Sécurité de la Nourriture pour Animaux de Compagnie

 

 

 

 

 

 

La SNAC a été créée en 2007. C’est une association au service des chats et chiens et de leurs maîtres (particuliers et éleveurs). L’objectif est de contribuer à l'amélioration de la qualité et de la sécurité des aliments pour animaux de compagnie disponibles sur le marché.  

Alors que chaque consommateur peut aujourd’hui légitimement prétendre à une information claire et fiable, force est de constater qu’en matière de nourriture animale il est bien difficile d’y voir clair.  La SNAC, grâce au montant des adhésions qu’elle perçoit, fait procéder par un laboratoire indépendant des marques de Pets-Food, l’analyse de tous les aliments pour chats et les chiens disponibles sur le marché. 

Forte de ces analyses qu’elle fait réaliser par le laboratoire LDA (recommandé par le Ministère de l'Agriculture) et de l’information qu’elle fournit ainsi à ses adhérents, la SNAC espère obtenir du Gouvernement, à moyen terme, la mise en place de normes pour les animaux domestiques. Normes qui n’existent que pour les animaux de ferme. Ce qui permettrait de contrôler l’alimentation destinée aux animaux de compagnie.

Découvrez sur leur site pourquoi la nourriture de nos animaux de compagnie peut parfois les mettre en danger…

www.croquettes-chats-chiens.com

 

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1 août 2011 1 01 /08 /août /2011 18:30

 
 
Photo : Nicolas Bulard

Michèle Cros, artisan herboriste de beauté, créatrice de Douces Angevines…

« Ma relation avec les plantes prend sa source dans des moments très précis de mon enfance. La présence du jardin, dans lequel je passais des heures entières. Les longues promenades dans la garrigue avec ma grand-mère et mon arrière grand-mère, les parfums de romarin, de thym, de plantes aromatiques…

L’odeur des saules au bord de la rivière, de la menthe. J’ai depuis l’enfance un lien particulièrement tranquille avec les plantes, je suis toujours allée vers elles. J’ai eu un jour envie d’approfondir cette façon de vivre avec elles.

De formation initiale purement littéraire, j’ai décidé une réorientation profonde et totale. J’ai entrepris des études en herboristerie, approfondissant mes connaissances en pharmacognosie, en plantes médicinales et aromatiques. Après de nombreuses recherches, et à travers d’anciens livres, je suis revenue aux sources, les traditions égyptiennes, grecques, romaines, les pratiques du Moyen Âge…

Puis j’ai eu le désir de partager mes connaissances, de manière concrète. Pendant mes études, j’ai commencé à réaliser des recettes pour mon usage personnel et pour mon entourage, testant de nombreuses plantes, des macérats, des huiles essentielles. L’idée de les diffuser est venue naturellement, pour que la nature vivante fasse partie du quotidien de chacun.

C’est ainsi que j’ai créé en 1994 Les Douces Angevines, une ligne unique de cosméto-fluides de beauté issus de simples* du jardin. Dans l’atelier laboratoire, je me suis entourée d’une équipe de femmes, qui représentent le côté féminin des cosméto-fluides, la transmission ancestrale des connaissances des plantes de femme à femme, à travers les générations. Je pense qu’il est possible de renouer le pacte mystérieux entre les femmes et les plantes, comme une solidarité entre créatures vivantes à la recherche de l’essentiel. »

* les simples : terme employé pour désigner l’ensemble des plantes médicinales.

 

Ces soins cosmétiques sont composés à 100 % de produits naturels et végétaux, certifiés écologiques et biologiques par Ecocert et labellisés par Cosmébio.

 

Vidéo Télématin

 

Plus d'infos sur : www.lesdoucesangevines.com

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29 juillet 2011 5 29 /07 /juillet /2011 18:10

Carbio

 

Natur'pot est 100 % biodégradable et compostable. Utiliser Natur'pot, c'est prendre soin des plantes et des semis lors du repiquage en terre et ainsi respecter la nature. Natur'pot est fabriqué à base d'amidon de pommes de terre et d'engrais organique. La matière première utilisée provient de l'industrie agro-alimentaire mais n'utilise que des déchets recyclés non issus d'une production intensive (contrairement au maïs, par exemple) ou de prélèvement direct du sol (tourbe, notamment). Ces godets sont à planter directement en pleine terre avec la plante. Ainsi cultivés, les pots se dégraderont naturellement en quelques semaines. Double avantage : pot biodégradable et fertilisant organique naturel pour la plante cultivée. Un emballage sous forme d'étui en carton recyclé précise tous les conseils d'utilisation du produit et fournit les étiquettes indispensables au repérage des semis du jardinier.

 

En vente sur…

 

http://www.jdtransbio.fr/nos-produits/carbio.html

 

http://www.gerbeaud.com/actualite-jardin/pot-godet-biodegradables-chapelu-200909.php

 

http://www.le-colporteur.fr/jardin-potager/index.php/ronbio-10-5-cm.html

 

 

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