Écrivain, BD, théâtre, coach... il aime "montrer ce qui va bien, que l'on peut être écolo et optimiste"...

• Privilégier les plages avec le label "Pavillon Bleu" qui valorise chaque année les communes et les ports de plaisance qui mènent de façon permanente une politique de développement touristique durable. C'est une référence dans les domaines du tourisme, de l'environnement et du développement durable.
• Réduire ses déchets : utiliser une gourde réutilisable plutôt que d’acheter systématiquement des bouteilles en plastique qui risquent de se retrouver dans la mer et d’asphyxier les animaux marins. Remplacer les produits emballés individuellement pour des contenant hermétiques. Privilégier les sacs en matériaux lourds qui ne s'envolent pas vers la mer.
• Privilégier les sports de glisse, comme le kitesurf, la planche à voile ou encore stand-up paddle, moins perturbants pour la faune aquatique.
• Opter pour une crème solaire écologique à base de filtres minéraux, sans nano-particules. Certains ingrédients contenus dans les crèmes solaires chimiques ont des effets désastreux sur l’océan et les coraux. Plusieurs ingrédients sont pointés du doigt comme l’oxybenzone, principal incriminé. Certaines destinations, dont Hawaï, les ont bannis de leur plage.
• Respecter la biodiversité : ne pas ramasser les étoiles de mer, ne pas soulever les rochers, ne pas nourrir les poissons, ne pas pêcher car les poissonneries sont déjà pleines de poissons, inutile d'en prélever en plus dans la nature !
• Emprunter les chemins balisés, ne pas emprunter les dunes qui abritent un écosystème fragile. Les oiseaux les choisissent souvent comme zone de nidification. Les rares plantes qui y poussent et qui peuvent paraitre anodines, sont souvent des espèces protégées qui jouent un rôle essentiel contre l’érosion des dunes.
• Limiter les douches d'eau douce et surtout n'utiliser ni savon ni shampoing qui risquent d'aller directement dans la mer.
• En bateau, ne rien jeter à la mer, naviguer dans les zones autorisées, équiper son embarcation pour gérer les eaux usées, être particulièrement attentif lors d’une approche au moteur en eaux peu profondes, faire bon usage des bouées de mouillage fixes et les privilégier quand elles sont disponibles, jeter l’ancre uniquement sur des zones sableuses.
• Ne rien emporter : les coquillages, galets, sable forment l’écosystème des littoraux. Les laisses de mer (algues, bois flottés, os de seiche) jouent également un rôle et servent souvent de réservoir de nourriture pour les oiseaux. Les prélever nuit et fragilise l'écosystème.
• Ne rien oublier en partant : chaque année 8 millions de tonnes de plastique se retrouvent dans les océans. L’équivalent d’un camion poubelle déchargé dans l’océan chaque minute. Un seul mégot pollue jusqu’à 500 litres d’eau et met des années à se dégrader et peut être avalé par un animal aquatique qui va en mourir. Emporter un cendrier de poche.
• Ne pas empiler les galets qui abritent une grande biodiversité. Les déplacer la perturbera. Certains oiseaux y nichent spécifiquement. L’empilement de pierres a également des conséquences directes sur l’érosion des plages et certaines plantes spécifiques, les choux de mer, poussent sur les galets et sont très utiles à l’écosystème, mais il leur faudra des années pour repousser si elles sont arrachées.
• Ne pas nourrir les oiseaux et les poissons car notre nourriture n'est pas la leur et peut leur être nocive ; de plus ils perdront l’habitude de la chercher et les oiseaux reviendront en masse sur le lieu de nourrissage ce qui augmentera leurs déjections sur les plages et perturbera son équilibre environnemental.
• Acheter un souvenir : préférer les produits fabriqués localement et éviter ce qui est fabriqué à partir d’espèces menacées ou protégées : peaux et parties du corps d’animaux, écaille de tortue, corail. C’est illégal.

Claude Servanton est un ancien cuisinier d'un restaurant végétarien.

Il vient de faire paraître un pamphlet sans concession sur l'alimentation du monde occidental. Il dénonce les lobbies agro-industriels, les élevages en batterie... Résultat de cette course à la productivité, la viande est une bombe à retardement pour la santé.

Réflexion philosophique, métaphysique et humaniste, la lecture de ce petit livre donne immédiatement envie de se jeter sur les fruits et les légumes !

"Les déchets ménagers courants que sont le papier, le verre, le plastique, les piles, les déchets organiques, l’aluminium et le textile sont chacun déclinés sur 6 cartes. Les questions/réponses proposées permettent de réviser l’indispensable pour trier juste et connaître la destinée des déchets."

"La Fondation Tara Océan, première fondation reconnue d’utilité publique consacrée à l’Océan en France, développe une science ouverte, innovante et inédite devant permettre de prédire et mieux anticiper l’impact du changement climatique.
Elle utilise cette expertise scientifique de très haut niveau pour sensibiliser et éduquer les jeunes générations, mobiliser les décideurs politiques et permettre aux pays en développement d’accéder à ces nouvelles connaissances.
Laboratoire flottant, la goélette Tara a déjà parcouru depuis 2003 près de 450 000 kilomètres, faisant escale dans plus de 60 pays lors de 12 expéditions menées en collaboration avec des laboratoires et organismes internationaux d’excellence (CNRS, CEA, EMBL, PSL, MIT, NASA…).
Ses laboratoires partenaires ont produit plus de 200 publications dans des revues scientifiques de renommée internationale."