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16 mars 2013 6 16 /03 /mars /2013 08:56

 

 

 

 

 

 

 

 

Du 1er mars au 31 mai de chaque année, l’opération nationale « Fréquence grenouille » sensibilise le grand public aux zones humides et à leur rôle inestimable : la préservation de nos ressources en eau.

Suivez l'actualité sur :

http://www.cfen-bassenormandie.org

frequence.grenouille@cen-bn.fr

 

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6 février 2013 3 06 /02 /février /2013 18:10
Greenpeace s’attaque à la mode avec son action "Fashion Detox" !

Grand spécialiste de la désobéissance civile non-violente, la célèbre O.N.G. Greenpeace s'est lancée il y a plus d'un an dans la "Détox" des plus grandes chaînes de textiles qui utilisent des substances toxiques pour produire nos vêtements. Le point sur une campagne choc au Kärcher !

Leur campagne s’appelle Détox. Eux, c'est Greenpeace. Depuis le 13 juillet 2011, les plus célèbres des lanceurs d’alertes en faveur de la protection de l’environnement font plier les géants de l’industrie de la mode en dévoilant la liste des produits chimiques toxiques rejetés par leur production.

Des perturbateurs endocriniens répondant aux doux noms d’alkilphénols, perfluorocarbures et autre nonylphénols dérivent donc impunément au gré des rivières pour nous vêtir à petit prix.

Ces substances dangereuses sont, pour la plupart, interdites en France. Mais les rivières se déversent dans les fleuves qui rejoignent immanquablement les mers et les océans.… Ne fermons pas les yeux, c'est aussi notre problème, ne serait-ce que parce que nous portons ces vêtements !

En tout, 20 marques sont dans le collimateur de Greenpeace. À ce jour, neuf d’entre elles ont déjà cédées à la pression : Li Ning, Nike, Adidas, Puma, H&M, C&A , Marks & Spencer, Zara et Levi's. Et que celui ou celle qui n’a jamais acheté une fripe de l’une de ces enseignes jette la première pierre. Li Ning mis à part, l'auteur de ses lignes détient au moins un exemplaire de chaque.

Et si, à notre niveau, nous pouvions aussi y changer quelque chose ?

Les géants de la mode cèdent aux pressions les uns après les autres.

La spécialité de Greenpeace c’est de créer le buzz. L’association, souvent critiquée pour ses opérations coups de poing, a au moins le mérite de faire bouger les choses. Cette fois la "fast fashion" est dans leur viseur. À grands renforts d’images chocs et de phrases bien senties elle invite les grandes marques à "laver leur linge sale" ou à " dévoiler leur sale petit secret" en reprenant à la sauce "Détox" leurs logos et slogans. La pétition est lancée et ne tarde pas à recueillir des signatures de militants, de citoyens, de fashionistas aussi. Pour Levi's, 8 jours de signatures, de mobilisations, de messages échangés sur les réseaux sociaux par plus de 210 000 personnes auront été nécessaires à susciter une réaction de la marque. Celle-ci s'engage à demander à ses fournisseurs en Chine et au Mexique de publier leurs données en matière de pollution d’ici juin 2013. Une bonne nouvelle donc, mais qui donne bien envie de boycotter ces enseignes en attendant qu’elles fassent vraiment le ménage.

Faites les bons choix pendant les soldes !

Finalement si ces marques sont leaders du marché, c’est bien parce que nous nous ruons sur leurs collections. Pourquoi ? Parce qu’elles sont stylées et bon marché. Alors oui c’est la crise et l'on n’a pas forcément les moyens d'augmenter notre budget vêtements, mais est-ce qu’on ne peut pas considérer les choses autrement en prenant conscience que c’est de notre santé et de celle de la planète dont il s’agit là ? Que comme le dit très justement Catherine Dauriac, journaliste spécialisée en mode éthique et textile eco-responsables : "Si c’est moins cher, il faut bien être conscient que d’autres payent à notre place" … Les ouvriers qui manipulent ces substances toxiques toute la journée par exemple, ou encore les habitants qui utilisent les eaux souillées par nos vêtements bradés. Malheureusement, comme pour l’alimentation, ce sont les personnes en difficultés financières qui subissent de plein fouet les dérives de nos industries. Alors si vous avez les moyens et donc le choix, posez-vous les bonnes questions avant d'acheter.

Et comme nous nous apprêtons à nous marcher dessus dans les grands magasins pour dénicher le dernier pull à la mode à petit prix, c’est finalement une bonne chose d’avoir toutes ces infos. On fera peut être des choix différents, en se tournant vers la mode éthique par exemple. Vous connaissez Les Fées de Bengale, Ekyog, Zaza Factory, Deux Filles en Fil, L'atelier des Dames, Un été en automne, Veja, Edun, Ambrym et tous les autres acteurs de la mode éthique ? Allez y faire un tour : 100% fashion et sans produit toxique !

www.femininbio.com

Vidéo


Pour la 2e année consécutive, Greenpeace lance Detox, une action destinée à supprimer les substances toxiques contenues dans les vêtements de certaines marques. Cette année, l’association prend pour cible Levi’s, Calvin Klein ou encore Zara.

S’habiller nuit gravement à l’environnement. C’est en substance ce que révèle Greenpeace dans un rapport publié mardi 20 novembre. La célèbre ONG environnementale y affirme que les vêtements de certaines marques, comme Calvin Klein, Levi’s ou Zara, comportent des substances toxiques pouvant causer des cancers et des désordres hormonaux.

Cependant, l’organisation précise que les dangers pour ceux qui portent ces vêtements ne sont pas avérés. C’est pour l’environnement que les conséquences de ces produits pourraient être plus graves. Utilisés dans les ateliers de confection de vêtements, ils contribuent à la pollution de l’eau des pays où ces marques produisent leurs collections.

Pour parvenir à ce résultat, Greenpeace a constitué en avril dernier un échantillon de 141 vêtements issus de 20 marques différentes. Robes, t-shirts, jeans et sous-vêtements, tout a été passé au crible. Résultats : les deux tiers contenaient de ces substances nocives.

Du coup, pour lutter contre ce désastre écologique et sanitaire, Greenpeace réédite cette année son action «Detox», destinée à pousser les marques à bannir ces substances de leurs chaînes de production. En 2011, l’organisation avait réussi à convaincre Nike, H&M ou encore Mark & Spencer de renoncer à ces produits. Elle met la pression cette fois-ci sur Zara, leader du secteur, par le biais d’une campagne web s’inspirant de l’e-shop de l’enseigne espagnole mais aussi par des actions coup-de-poing dans les vitrines de certaines de ses boutiques.

http://absolu-feminin.marieclaire.fr

Plus d'info sur http://blog.greenpeace.fr/tag/detox


Des jeans colorés grâce à du vin, des fils de tissage fabriqués avec des bouteilles de soda : le salon "Denim by Première vision" a présenté mercredi et jeudi à Paris les nouvelles technologies en faveur de l'environnement d'un secteur régulièrement qualifié de pollueur.

Trop d'eau consommée, trop d'électricité, trop de produits toxiques sont au centre des griefs des ONG qui réclament aussi plus de recyclage. La plupart des 87 entreprises réunies à Paris (tisseurs, finisseurs, délaveurs...), le haut de gamme de cette industrie, en ont fait un réel sujet de préoccupation, par intérêt économique aussi.

Depuis plusieurs années, les techniques ont évolué comme l'apparition du laser pour délaver ou faire des empreintes sur les jeans, remplaçant la pierre ponce ou le sable, grands consommateurs d'eau et nocifs pour la santé des ouvriers textile.

L'italien ITV, qui a racheté le brevet d'Ecoyaa, entreprise sud-coréenne spécialisée dans la teinture naturelle, a présenté à la Halle Freyssinet un nouveau procédé, "Wine-tex", pour remplacer l'indigo, la teinture du jean majoritairement chimique, par du vin ou du fer.

La société américaine Cone Denim, qui fournit le géant Levi's, accueille ses clients avec des petites bouteilles plastique remplies de flocons marrons ou verts. L'explication se lit sur les étiquettes de jeans: "soda pop green" ou "beer bottle brown". Une partie du fil provient du recyclage de bouteilles de bière et de soda.

Pour faire un jean, "il faut sept bouteilles en moyenne", explique Kara Nicholas, une des responsables du marketing de la maison. La production de cette toile denim particulière ne représente cependant encore que 10% de l'ensemble des collections.

L'Espagnol Tavex est venu présenter sa dernière technologie: de l'indigo économe en eau, alors que cette teinture, chimique ou naturelle, nécessite plusieurs bains pour se fixer à la fibre.

Tavex explique avoir trouvé une technique spéciale de fixation chimique de la teinture. "On économise 300.000 litres d'eau par jour soit 12 litres par jean avec ce procédé", déclare le responsable marketing pour l'Europe David Bardin.

A l'appui de sa démonstration, M. Bardin montre une bouteille pleine d'eau foncée - le bain traditionnel - et une autre presque claire, celle issue de cette technique baptisée "Acquasave".

Pour M. Bardin, l'intérêt est aussi économique, avec un allègement des factures d'eau mais aussi de retraitement des eaux.

La consommation de denim est "un énorme business", évalué autour de 100 milliards de dollars, dont 80% rien que pour les jeans, rappelle le président du salon Philippe Pasquet. Les entreprises haut de gamme comme celles présentes au salon ne représentent que "20% d'un marché très concentré".

Si beaucoup d'entre elles affichent des slogans "eco friendly" sur leurs stands, pour le directeur du salon, il ne faut pas encore s'attendre dans ce secteur "à un grand soir de l'écologie".

Ne serait-ce que parce que le coton, grand consommateur d'eau et de pesticides, est toujours dominant dans la fabrication du tissu. D'autres matières ont déjà été intégrées à la toile comme le Tencell, à base de pulpe d'eucalyptus, qui apporte un effet stretch très recherché par les femmes.

Pour M. Pasquet, "les avancées sur le développement durable se feront bien si elles ne se font pas au détriment de la mode". Autrement dit, si les produits sont désirables.

L'idée de récupération ou de nouvelle vie donnée à son bon vieux jean gagne aussi du terrain. Pour le consultant et spécialiste du denim Philippe Friedmann, l'air du temps est justement "au +home made+, à la customisation, au sur-mesure dans cette éternelle quête du Graal pour avoir le parfait denim".

AFP - www.goodplanet.info

 

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5 février 2013 2 05 /02 /février /2013 18:15

© Beyond Meat

 

Qu'a-t-il donc de si particulier ce poulet Beyond Meat pour tant défrayer la chronique aux Etats-Unis ? Réponse : le goût, la texture et l'aspect de la chair du volatile... mais sans un gramme de poulet. Ses ingrédients : une pincée de poudre de soja et une grosse dose de technologie. Ajoutez-y un intérêt vorace d'investisseurs réputés visionnaires, mélangez avec une croissance annuelle du secteur de 20%, agrémentez le tout d'une explosion prévisible des besoins. Une plongée dans une niche de l'agroalimentaire qui pèse déjà un milliard de dollars outre-Atlantique : le marché de la viande artificielle.

"D'ici 50 ans, nous échapperons à l'absurdité d'élever un poulet entier pour en manger le blanc ou une aile, en produisant ces parties séparément." Le carnivore forcené qu'était Winston Churchill avait vu juste dès 1932. Certes, il se trompait de quelques décennies. Mais le fait de manger de la viande qui ne proviendrait pas d'un animal n'appartient plus au domaine de la science-fiction. Et ce n'est pas Mark Bittman, célèbre chroniqueur gastronomique du New York Times, qui nous contredira. Lors d'un test à l'aveugle, il a confondu le faux poulet confectionné par la start-up Beyond Meat avec du vrai. Le poulet Beyond Meat surprend par sa ressemblance au vrai.

Alors, la viande artificielle, qu'est-ce que c'est ? De même qu'il existe différents types d'élevages, on retrouve en fait différents procédés.

Pour fabriquer ses produits, l'américain Beyond Meat manipule à la fois chaleur, refroidissement et pression. D'une protéine poudrée (issue du soja pour le poulet et de petits pois pour la viande rouge) est tirée une pâte liquide, chauffée puis extrudée à travers une machine semblable à une presse à pâtes et enfin refroidie.

Le britannique Quorn, lui, utilise de la mycoprotéine, une protéine provenant de champignons, et a recours à "un procédé de fermentation très semblable à la fermentation de la bière. Simplement, plutôt que de récolter le liquide, nous récoltons le solide. Cet ingrédient est ensuite utilisé comme base pour plus de 100 produits alimentaires différents, allant de la viande hachée et filets aux plats préparés et en-cas", explique l'entreprise.

La viande artificielle n'est plus depuis longtemps un rêve de savant fou. Plusieurs entreprises sont déjà actives sur le marché, ou sur le point de l'être, l'américaine Beyond Meat faisant notamment sensation depuis quelques mois avec son poulet hyper réaliste à base de soja.

Pour l'instant, le poulet de Beyond Meat se trouve uniquement dans des plats préparés : salades, sandwichs et brochettes. Il est distribué dans certains magasins de la chaîne Whole Foods, équivalent américain de Naturalia, sur la côte Ouest et dans la région des Rocheuses. La compagnie vise une distribution nationale début 2013. Avant de tenter la production de viande rouge artificielle, un tout autre challenge vu la difficulté pour en imiter l'aspect.

Particularité de Beyond Meat, elle ne souhaite pas se cantonner au marché végétarien/végétalien et insiste pour que ses références soient rangées auprès de la viande conventionnelle plutôt qu'à côté du tofu. "Notre objectif est de redéfinir la catégorie, confie le fondateur Ethan Brown à Slate.com. Au lieu de la nommer "viande", elle s'appellerait "protéine", peu importe qu'elle provienne d'une vache, d'une poule, de soja, de petits pois, de quinoa ou d'autres sources végétales."

Fiel Roast vend ses Frankfurters à base de blé lors des matchs de baseball de Seatlle.

Une stratégie différente de celle des concurrents. Les nouvelles saucisses au blé de la société Field Roast, acclamées par les critiques gastronomiques, sont vendues dans le stade lors des matchs de baseball de l'équipe de Seattle. Field Roast, fondée en 1997, "assume pleinement de fabriquer des produits à base de plantes principalement à destination des végétariens", assure une responsable de la communication.

La société canadienne Garden Protein International, elle, a choisi la santé et le bien-être comme créneau marketing. Les produits à base de soja, blé ou petits pois de sa marque Gardein ont reçu pléthore de prix pour leur qualité.

Les substituts de viande à base de champignon de la britannique Quorn, créé en 1995, sont quant à eux disponibles aux Etats-Unis depuis 2002. L'entreprise est parvenue à se hisser en première position des marques de substituts de viande dans les magasins spécialisés dits "naturels", avec 26% des parts de ce marché. Dans les réseaux de distribution traditionnels, elle pèse 10% de parts de marché.

Un secteur en plein boom : "Ces dernières années, malgré la crise, nous avons connu des taux de croissance d'environ 20%"

Lorsque le britannique Quorn a investi le marché américain en 2002, "nous n'avions que trois produits en vente dans une centaine de magasins, se rappelle David Wilson, directeur général pour les Etats-Unis. Aujourd'hui, nous sommes présents dans plus de 10000 magasins avec une quinzaine de références. On peut trouver nos produits jusqu'en Alaska et à Hawaï." En 2011, les ventes au détail des produits Quorn ont atteint les 32 millions de dollars outre-Atlantique. Sur les 9 premiers mois de 2012, elles s'élèvent déjà à 36 millions. "Ces dernières années, malgré la crise, nous avons connu des taux de croissance d'environ 20%, atteignant parfois les 25%".

Une tendance vérifiée auprès des concurrents : la marque canadienne Gardein est aujourd'hui distribuée dans 12500 magasins contre 750 en 2003. En 2010, les ventes ont augmenté de 40% par rapport à 2009. Beyond Meat, présente uniquement sur la côte Ouest, a quant à elle été victime de son succès médiatique.

"Les ventes de substituts de viande représentent 0,6% de l'ensemble du marché"

Désormais, aux Etats-Unis, les produits à base de substituts de viande représentent 70% des ventes de nourriture dite végétarienne. Ils séduisent évidemment les 5% d'Américains végétariens et les 2% de végétaliens mais aussi certains carnivores. "Dans son ensemble, le marché pour les substituts de viande s'est considérablement développé car il y a davantage de choix pour les consommateurs", explique David Wilson. De là à concurrencer l'industrie de la viande ?

"En 2003, les ventes de viande artificielle s'élevaient à environ 300 millions de dollars, nuance Jayson Lusk, professeur d'économie agricole à l'université d'Oklahoma. En 2011, on estime qu'elles atteignent environ 1 milliard de dollars. Si l'on considère que les ventes de bœuf étaient de 79 milliards, celles de volailles de 45 milliards et celles de porc de 30 milliards, on arrive à un total de 154 milliards. Cela voudrait dire que les ventes de substituts de viande représentent uniquement 0,6% de l'ensemble du marché. Afin de disposer d'une véritable vision de l'impact de la viande artificielle, il faut avant tout se rendre compte de l'immensité du marché de la viande."

Les fondateurs de Twitter et celui de PayPal ont investi dans la viande artificielle

Pour Jayson Lusk, professeur d'économie agricole, le succès de la viande artificielle est aussi dû à la hausse des prix de la viande conventionnelle.

"Depuis une dizaine d'années, les consommateurs sont devenus plus sensibles aux problèmes liés à l'impact de l'élevage intensif sur l'environnement, au traitement des animaux mais aussi à leur propre santé et bien-être, rappelle Jayson Lusk, professeur d'économie agricole à l'université d'Oklahoma. Mais, ces derniers temps, le recours aux substituts est aussi une conséquence de la hausse des prix de la viande. Dans certains cas, l'augmentation s'élève à 30% par rapport à l'année dernière."

Une forme d'intérêt pécuniaire qui préfigure le probable besoin de viande artificielle à venir : d'ici 2060, selon l'ONU, la Terre comptera 2 milliards de personnes de plus. D'ici 2050, la demande en viande aura doublé, selon l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO). Or près de 30% de la surface exploitable de la planète sert déjà aux pâturages pour animaux. Et le secteur de l'élevage contribue à 18% des émissions mondiales de gaz à effets de serre. Une étude de l'université d'Oxford, publiée en 2011, estime que la viande créée en laboratoire produit 78 à 96% moins de ces gaz que la viande conventionnelle. Elle nécessite également 82 à 96% moins d'eau.

Par ailleurs, 80% des antibiotiques vendus aux Etats-Unis sont donnés aux animaux d'élevage, selon la Food and Drug Administration, augmentant ainsi le nombre de maladies résistantes aux antibiotiques. S'ajoute à ces considérations, celle, plus morale, du sort réservé aux animaux : selon la FAO, pour se nourrir, l'homme abat 1600 mammifères et oiseaux chaque seconde.

En souhaitant concurrencer l'industrie de la viande, Ethan Brown, patron de Beyond Meat, vise à réduire l'empreinte de l'homme sur la planète. "Auparavant, on se déplaçait grâce au cheval. Puis la voiture l'a remplacé, confie-t-il à Slate.com. Je suis persuadé qu'à l'avenir, vous marcherez dans les rayons d'un supermarché et vous demanderez du poulet ou du bœuf. Et de la même façon que l'automobile n'a plus de relation au cheval, ce que vous obtiendrez n'aura plus rien à voir avec les animaux."

Reste à savoir si les consommateurs accepteront complètement l'idée de se retrouver avec une viande artificielle dans leur assiette. "Il existe chez les gens une certaine aversion à l'usage de la technologie dans la nourriture", rappelle Jayson Lusk. Mais auront-ils le choix ?

www.journaldunet.com

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27 janvier 2013 7 27 /01 /janvier /2013 09:25

maison-insectes-540x405.jpg

 

Vous êtes préoccupés par l’écologie et désireux de revenir à un mode de jardinage plus en accord avec la nature ? Pourquoi ne pas aider les insectes auxiliaires à s’installer confortablement dans votre jardin ? Ils vous aideront dans votre lutte contre les parasites de façon naturelle, évitant ainsi l’application de pesticides dangereux pour l’environnement. Et en plus, c'est très joli ! L'utile rejoint l'agréable !

A acheter : http://www.lpo-boutique.com/catalogue/jardin-d-oiseaux/faune-du-jardin/2-gites-a-insectes-et-papillons/hotel-a-insectestriano?cnt=1395473&scc=780108&seg=1

 A faire soi-même :

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12 janvier 2013 6 12 /01 /janvier /2013 21:34
Le Pandathlon

Le Pandathlon est un événement unique qui allie Sport, Nature, Convivialité et Solidarité.

L’enjeu de cet événement est de permettre la préservation d’une zone écologique à forte valeur écologique à travers un défi solidaire et sportif :

* Solidaire car chaque équipe se mobilisera pour collecter des fonds au profit de la préservation de ce haut lieu de biodiversité.

* Sportif car chaque équipe marquera son engagement en participant à une eco-randonnée qui se déroulera dans cette zone écologique à préserver.

Le WWF propose de devenir ambassadeurs, acteurs et témoins de la Biodiversité en participant à cette aventure dans un cadre naturel exceptionnel.

Suivez l'actualité sur www.pandathlon.fr

 

 

 

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10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 18:34

Un livre pour les grands

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"Je réussis mon compost et lombricompost"

De Ludovic Martin, Pascal Martin, Eric Prédine

Editions Terre Vivante

En 40 ans, nos poubelles ont doublé de volume. Et les messages pleuvent : « réduisons nos déchets – nous dit-on – ça déborde ! ». Composter, la solution ? Oui, à condition de choisir le type de compostage adapté à son mode de vie.

Habiter un appartement et se lancer dans le lombricompostage ou vermicompostage, c’est possible. Vivre dans un pavillon de banlieue avec un jardinet et s’acheter un bac à compost, ce n’est pas compliqué, Avoir un grand jardin potager, une haie, et quelques massifs de fleurs permet de se lancer dans le compostage à plus grande échelle.

Les frères Martin et Eric Prédine sont « maîtres composteurs ». Ils ont formé une foule de gens à l’art du compost dans des situations très diverses. Leur expérience en la matière nous permet de nous lancer avec toutes les chances de réussite.

Bien choisir sa technique : lombricompost ou compost ? Compost : en tas ou dans un composteur ?

Gérer son compost : savoir équilibrer « le vert » et « le brun ». Faire démarrer la fermentation, retourner le compost et le laisser murir.

Pour le lombricompostage : se procurer des vers, un lombricomposteur, nourrir ces charmantes petites bestioles de vos épluchures, et récolter du bon compost pour vos plantes vertes et vos géraniums. Tout simple et très éducatif pour toute la famille. On s’y met ?

Un livre pour les petits

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"Twist Le Lombric"

De Flora Bernard, Pierre Cornuel

Editions Viatao

« Pour parler d’environnement aux petits, il faut éviter le catastrophisme ou le pensum, explique Anne Gouyon, fondatrice de Viatao. Les enfants découvrent le monde par le jeu, les sens, l’imagination… »

Ce conte démarre par un constat : l'hibiscus de Zoé est mal en point et le rouge de sa corole est terne. Twist, le lombric, propose son aide et celle de ses cousins à Zoé.

« Donne-nous juste à manger pendant quelques semaines, je ne t’en dis pas plus ! ».

À partir des déchets de la cuisine, les lombrics vont fabriquer un merveilleux compost qui redonnera vie à l’hibiscus.

À la fin du livre, un cahier pratique permet aux enfants et aux parents de fabriquer un lombricomposteur, et de trouver tous les bons plans pour s’initier au lombricompostage.


2186_1-copie-1.jpg

Un réseau "compost citoyen" sur www.enrgethic.com


Toulouse : le compostage à l'aire du collectif

Une petite boîte carrée en bois trône sur la pelouse de la résidence Chantilly, à la Faourette. Elle est prête à recevoir les épluchures de légumes et autres déchets organiques des habitants des 190 appartements voisins. C'est l'un des premiers composteurs collectifs à voir le jour dans le parc privé de la Ville rose. L'association Reflets, dont le rôle consiste à assister les Toulousains dans leur mise en place, a mené une première expérience en 2009 dans les jardins publics Michelet et Lapujade. D'ici au printemps, 8 nouveaux sites auront vu le jour.

«C'est avant tout une démarche citoyenne et participative, sans cela le projet ne peut être pérenne. Il y a un aspect recyclage des déchets, mais aussi de lien social entre les habitants, la convivialité devient vite un moteur», note Virginie Combettes Ndiaye, responsable du projet au sein de l'association. Cette dernière fournit le composteur et les seaux individuels, assure le suivi de l'état du compost et forme les habitants référents aux techniques. Au Chantilly, Christine Delacroix remplit ce rôle. Fatiguée de voir 30 % des poubelles partir inutilement à l'incinération, elle a décidé de mobiliser ses voisins. «Depuis longtemps, je composte chez moi, mais j'amenais mon seau à la campagne. Je me suis dit, pourquoi ne pas le faire sur place…», explique celle dont le but est de créer un jardin aromatique grâce au résultat du compostage.

www.reflets-asso.org

20 minutes

 

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6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 19:35

 

 

 

"Les boxs des refuges animaliers sont situés en extérieur, ainsi, dès que les températures descendent, les animaux sont très exposés au froid. Les associations ont alors besoin de couvertures pour les réchauffer.

Sos couvertures a pour but d'aider à financer ces couvertures, en effet, à chaque fois qu'un clic est enregistré sur le bouton (situé à gauche), nos sponsors financent 2 centimètres carrés de couverture. Merci à tous pour votre aide."

www.soscouvertures.com

 

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6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 15:28
Urgence animaux : votre souris a du pouvoir !

Créé en 2011, le site internet Urgence Animaux permet à des chiens, chats ou encore rongeurs abandonnés d’être secourus gratuitement par des internautes.

Il suffit pour les internautes de venir cliquer chaque jour sur les fiches des animaux présentés sur le site, et ainsi de générer des bénéfices grâce à la publicité ! En effet, à chaque clic (gratuit) sur la fiche de l’animal, quelques centimes d’euros sont reversés par les sponsors et les annonceurs publicitaires.

Ce geste répété des milliers de fois permet alors de réunir les sommes nécessaires aux soins de chaque animal en détresse. Il est aussi possible de visionner des vidéos sponsorisées et d’effectuer des appels de soutien et des dons en faveur des animaux à sauver.

Depuis sa création, le site a déjà pu reverser plus de 35 000 euros aux associations de protection des animaux. Urgence Animaux est actuellement en plein essor et aspire à se développer encore davantage en bénéficiant du soutien de plus en plus d’internautes.

Plus d'info sur www.urgenceanimaux.com

 

 

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28 décembre 2012 5 28 /12 /décembre /2012 23:12
Aide Animaux : votre souris a du pouvoir !

Aideanimaux.com vous permet d'aider des animaux abandonnés.

Pour cela, il vous suffit juste de venir cliquer chaque jour sur leurs fiches, en échange de vos clics les sponsors du site financent les soins dont les animaux ont besoin.

www.aideanimaux.com

 

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25 décembre 2012 2 25 /12 /décembre /2012 10:56
Actuanimaux : votre souris a du pouvoir !
ACTU Animaux

www.actuanimaux.com, site internet créé le 31 octobre 2009, proposé dans sa version rénovée depuis décembre 2010, permet de s’informer, d’échanger des idées mais aussi et surtout de participer gratuitement au sauvetage d’animaux au passé souvent douloureux.

En 1 an, avec l’aide de milliers d’internautes, nous avons pu sauver plus de 80 animaux, reverser plus de 55000 euros aux associations et soutenir plus d’une vingtaine d’organismes portant assistance aux animaux en détresse.

Nous remercions tous ceux qui participent à nos côtés à cette belle aventure, sans eux rien ne serait possible.

Bien cordialement,

L’Equipe d’Actuanimaux

Plusieurs solutions à disposition : clic sur la fiche d'un animal, don, pétition, appel téléphonique solidaire... plus d'info sur www.actuanimaux.com

 

 

 

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