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  • : Amoureuse de la nature, un brin militante, bienvenue dans mon monde... écologie, merveilles terrestres, belles initiatives, protection animale, livres, cuisine végétarienne mais aussi grognements et émotions... Belle visite ! Laurence
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4 mars 2012 7 04 /03 /mars /2012 20:29
 Le Ficus pour le salon

 

 Le Yucca pour la salle à manger

 

 Le Spathiphyllum pour la chambre

 

 L’Aglaonema pour la cuisine

 

 L’Hedera pour la salle de bains

 

 La Jacinthe pour l’entrée

Le Ficus pour le salon

Plante touffue aux feuilles frémissantes ou bonsaï au tronc tordu, le ficus prend des allures très variées. Il arbore de grandes feuilles en forme de cuiller ou de petites feuilles étroites. Vert sombre, vert tendre, panaché, il en existe plus de sept cents espèces différentes. On pourrait presque dire, à chacun son ficus !

Il aime la chaleur et l’humidité. Il est résistant et supportera même d’être un peu négligé. En lui donnant suffisamment de lumière et en ne le laissant toutefois pas se dessécher, il s’en tirera bien. Pour combler notre ami Ficus, il suffit de le mettre dehors sous une averse d’été pour lui permettre de prendre une douche. La pluie nettoie ses feuilles de la poussière et l’aide ainsi à mieux respirer et absorber la lumière.

Il amortit parfaitement les sons et peut absorber jusqu’à 5 décibels de bruit.

Son emplacement idéal : mi-soleil.

Comment le soigner ? Maintenez la terre humide.

Le Yucca pour la salle à manger

Nul besoin de faire entrer un arbre dans la maison pour profiter pleinement de ce latino robuste, il existe de petits Yuccas qui n’atteignent pas tout de suite le plafond. Certains possèdent des pointes acérées au bout de leurs longues feuilles, d’autres sont plus douces ou encore surmontées d’un plumeau.

Il peut très bien se débrouiller seul, habitué à survivre en plein désert ! Il conserve de l’eau dans ses feuilles résistantes, en prévision de périodes plus arides. De l’eau une fois toutes les deux à trois semaines lui suffit, il gérera lui-même ses réserves en fonction de ses besoins.

Cette plante architecturale est surnommé « Arbre de vie » et est un objet d’adoration des Indiens.

Son emplacement idéal : lumineux sans soleil direct.

Comment le soigner ? Arrosez-la très légèrement toutes les deux à trois semaines.

Le Spathiphyllum pour la chambre

Petites ou grandes, les feuilles vert foncé du Spathiphyllum sont solides et souples. Lorsque le Spathiphyllum est resté un temps au sec, ses feuilles pendent mollement le long de son pot. Dès qu’il est immergé, il étire de nouveau ses feuilles avec fierté et puissance dans l’air. A l’origine, le Spathiphyllum vient du Venezuela et de Colombie, ou` il a été trouvé dans les forêts tropicales.

Ce n’est que vers la fin du 19ème siècle qu’il est arrivé en Europe, ou` il est devenu un compagnon très apprécié. Notamment en raison de ses fleurs blanches qui jaillissent entre ses feuilles touffues. Il existe aussi une variante avec des fleurs vertes, mais elle est encore rare. Ses fleurs sentent bon le frais. Avec ce purificateur d’air, vous n’avez pas besoin d’autre parfum désodorisant à la maison.

C’est un véritable purificateur d’air. il absorbe les substances nocives, les odeurs de peinture et répand en retour de l’oxygène.

Son emplacement idéal : Mi-soleil.

Comment le soigner ? Maintenez sa terre légèrement humide en été et un peu moins en hiver.

L’Aglaonema pour la cuisine

Tranquillement, dans le fond de la pièce se tient l’Aglaonema. Il ne cherche pas à attirer l’attention avec ses magnifiques feuilles rouges et violettes, mais possède cependant une beauté empreinte de simplicité. Les variantes d’Aglaonema sont nombreuses et semblent toutes obéir à une règle mathématique qui répartit leurs feuilles selon le même rythme régulier. Originaire de la jungle, où cette beauté simple se tenait sur le sol, au pied et dans l’ombre d’arbres géants, l’Aglaonema s’est ainsi habitué à recevoir peu de lumière et ne peut supporter de lumière solaire directe. La plante appréciée l’air humide et un arrosage suffisant qui laisse ses racines au sec.

Des chercheurs ont montré son utilité contre le stress. Elle aide à se détendre et à être plus productif.

Son emplacement idéal : mi-ombre, pas d’ensoleillement direct.

Comment le soigner ? Arrosez-la régulièrement.

L’Hedera pour la salle de bains

On l’appelle plus communément lierre. Il en existe des variétés aux grandes feuilles résistantes et d’autres aux petites feuilles délicates, avec des bords rouges, des petites lignes blanches, des taches jaunes, ou bien encore joliment unies. Pour l'Hedera, le monde est une aire de jeux. Avant même de vous en apercevoir, il s’étirera vers le plafond ou jusqu’au sol. Inutile d’avoir la main verte pour maintenir un Hedera en vie pendant des années car celui-ci n’a presque pas de besoins. Un peu de lumière, de l’eau une fois par semaine et de l’engrais une fois par mois pendant sa période annuelle de croissance. Il est facile de vieillir ensemble avec ce grimpeur-né.

Cette plante reste verte et grandit tout au long de l’année. Elle est robuste et solide.

Son emplacement idéal : Ombre, mi-ombre.

Comment la soigner ? Arrosez-la une fois par semaine et donnez-lui de l’engrais une fois par mois.

La Jacinthe pour l’entrée

En plein hiver, la Jacinthe débarque et avec elle une véritable sensation de printemps. Par ses couleurs gaies : violet, rose, bleu, blanc, jaune et orange, sa superbe floraison et son parfum frais, c’est bel et bien le soleil qui brille dans la maison alors que dehors, il grêle.  La Jacinthe, c’est la gaité du printemps au cœur de l’hiver. Ce bulbe pourtant bien hollandais revendique ainsi ses racines méditerranéennes… Cette bombe parfumée n’est pas exigeante. Un peu d’eau tous les deux jours, en fonction de l’importance du chauffage. A la lumière ou dans la pénombre, cela lui importe peu. La seule chose qui compte est le soutien d’un petit tuteur ou d’une cordelette lorsque les grappes florales deviennent trop longues et lourdes. Quand elle est fanée, elle a donné le meilleur d’elle-même. Coupez la tige et les fleurs et replantez le bulbe dans un jardin en pleine terre. Floraison l’année suivante garantie.

Les fleurs de la jacinthe répandent, dans toutes la maison, un parfum printanier.

Son emplacement idéal : mi-soleil.

Comment la soigner ? Maintenez un taux d’humidité régulier.

www.femmeactuelle.fr


Les plantes qui dépolluent

L'azalée est la plante qui élimine le mieux l'ammoniac (dégraissants...)   

Le chrysanthème absorbe le trichloréthylène, susbtance hautement toxique qui se dégage des peintures et solvants. Il est particulièrement utile dans les pièces fraichement repeintes et partout où les murs sont peints ou comportent des vernis.

Le ficus est le meilleur neutralisant du formaldéhyde, le formol, hautement cancérigène, utilisé pour assurer la tenue des rideaux, tissus d'ameublement, essuie-tout, nappes, vêtements sortant du pressing... Il est présent aussi dans les mousses d'isolation, la colle à moquette, les papiers d'emballage, les cartons...

Le philodendron absorbe remarquablement le pentachlorophémol omniprésent dans les produits de traitement du bois. Cette plante aux grandes feuilles dégage beaucoup de vapeur d'eau, ce qui évite l'assèchement de l'air dans les pièces chauffées.

Le chlorophytum est sans doute la plante dépolluante la plus efficace. Il supprime le monoxyde de carbone et le formaldéhyde. C'est la meilleure prévention contre leurs effets cancérigène et contre les allergies.

Le cactus protège des ondes électromagnétiques des tubes cathodiques des téléviseurs et ordinateurs.

Le lierre est la meilleure plante pour éliminer le benzène, un solvant très présent dans les peintures, les encres, les matières plastiques et les détergents.

Le gerbera lutte efficacement contre la fumée de cigarette mais également contre tous les composés organiques toxiques volatiles tels que le formaldéhyde.

Le spathiphyllum absorbe très efficacement les composés toxiques des peintures, vernis, colle... comme le formaldéhyde, le trichloréthylène, le xylène.

Le phalaenopsis, variété d'orchidée, absorbe le monoxyde de carbone qui se trouve au premier rang des polluants intérieurs émis par exemple par les appareils de chauffage à gaz, au charbon s'ils sont mal réglés.

Cette liste n'est bien sûr pas exhaustive.

 
Livres
De Geneviève Chaudet
Editions Rustica
Plantes dépolluantes






 
 
De Bénédicte Boudassou
Editions Larousse

Je teste les plantes détox et dépolluantes !

 

De Guillaume Gérault et Ronald Mary

Collection Pratic express

 

"Ce guide du bien-être au naturel propose un programme détox simple et efficace : 7 plantes détoxicantes, pour éliminer les toxines, et 7 plantes dépolluantes, pour chaque pièce de la maison. De quoi satisfaire toutes les personnes qui désirent agir concrètement sur leur propre « dépollution », avec des solutions saines et naturelles, qui vont dans le sens de l'écologie humaine et de la protection de l'environnement."

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commentaires

A
Un petit truc pour le ficus : il ne supporte pas les courants d'air. Donc il ne faut jamais le mettre près d'une porte ou d'une fenêtre... il en perd à chaque fois toutes ses feuilles !<br /> Cat
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